
Ils s'en allèrent enfin, après plusieurs dizaines de minutes de lutte intense. Je restais silencieux, n'osant pas sortir de ma cachette. J'avais tellement peur... peur qu'ils soient restait en sachant que mes parents avaient eu un fils, ou peut-être... que j'avais peur de voir l'état dans lequel était mes parents...
Après de longues minutes à étouffé mes sanglots, je pris mon courage à deux mains, respiras un grand coup, et sortis enfin de ma cachette. Ce que je vis me fît monter les larmes aux yeux et pleurer de plus belle... mes parents étaient là, allonger sur le sol, leurs corps mutilés, leurs vêtements déchirés... ils avaient été tués avec une incroyable sauvagerie... tout sa parce qu'ils n'entraient pas dans les normes... ils pratiquaient la sorcellerie, mais préféraient demander l'aide du Malin, plutôt que celle du Bon Dieu... si Dieu était réellement bon, peut-être aurait-il empêcher cela pour leurs donner une nouvelle chance...
J'étais agenouiller, la tête posée sur la poitrine ensanglantée de mon père, la tête de ma mère, ou plutôt ce que je savais être la tête de ma mère, poser sur son ventre. Des larmes bouillantes de haine coulant le long de mes joues, les yeux rouges et gonfler... Pourquoi fallait-il que les choses soient ainsi ? Pourquoi étions nous traqué par ces gens qui se disait messager de Dieu ? Et pourquoi ? ... Pourquoi Dieu les laissait-il faire ??? ...
Je sentais la haine monter en moi, ainsi qu'une noirceur incroyable, dont j'ignorais totalement l'existence. Tout à coup, mon corps eu été pris de convulsions incontrôlables sans que je puisse comprendre pourquoi. Peut-être que j'avais été découvert et que ces soi-disant "messagers" allaient m'achever de cette manière.
Lorsqu'une ombre apparue dans l'encadrement de la porte. A cet instant les convulsions se calmèrent, puis s'arrêtèrent. L'ombre ne disait rien, ne bougeais pas, mais pourtant, j'entendais une voix dans ma tête me disant qu'elle connaissait mon mal, celui dont j'étais atteint, et qu'elle était aptes à m'aider. Puis, l'ombre me fît un signe de tête voulant dire qu'il fallait que je le suive, et il partit. Quant à moi, je restais là, ayant du mal à croire ce que je vis, puis me ressaisit et lui emboîta le pas.
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